ERP Post-moderne : la checklist

Tout comme les contrôles préalables à la sélection d’un fournisseur, les entreprises s’engageant dans une transition digitale ou postmoderne doivent aborder la sélection de leurs moyens et outils avec une approche structurée, l’accompagnement et l’outillage approprié, et une rigueur à la hauteur des enjeux et risques. Un logiciel ERP post-moderne s’inscrit dans cette démarche.

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Engagement des sponsors sur le Programme

Comme c’est souvent le cas quand une entreprise prend des décisions ayant un impact sur l’ensemble de l’organisation, une équipe de sponsors de haut niveau doit être impliquée.

Comme une variété de système différents doivent être interfacés dans une solution intégrée, les dirigeants des différents départements impactés doivent pouvoir influencer la priorisation des processus sur leur périmètre de responsabilités.

Evaluation des systèmes considérés

Comme le concept d’ERP post-moderne implique la mise en œuvre de solutions distinctes, une compréhension précise de ce qu’offre (ou n’offre pas) chaque fournisseur est impérative.

Les conditions contractuelles, de garantie et les SLA doivent être bien comprises, particulièrement si des personnalisations et/ou développements sont envisagés et si leurs équipes internes sont capables de prendre en charge les incidents quand ils surviennent.

Enfin, si des évolutions significatives interviennent sur les solutions SaaS méticuleusement interfacées à la solution principale, un nouveau jeu d’interfaces complexe peut devenir nécessaire.

Analyse des coûts complets (Total cost of ownership)

Le coût total d’une telle entreprise doit être mesuré à l’aune de solutions alternatives plus favorables aux comptes de bilan. Il en est de même pour la comparaison avec l’option de surseoir à l’opération et « de ne rien faire ».

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